CULTURE A CHLEF - EL ASNAM -

CULTURE A CHLEF - EL ASNAM -

ONE MAN SHOW DE SAMIR BOUANANI d'après le texte de MOURAD SENOUCI

CAFE LITTERAIRE CHLEF

 

 

 

ONE MAN SHOW DE SAMIR BOUANANI

d'après le texte de MOURAD SENOUCI

 

          L'INVITATION EST GENERALE

 

SOYEZ TOUTES ET TOUS LES BIENVENUS (ES)

 


17/05/2016
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CAFE LITTERAIRE DE CHLEF DU 14 MAI 2016 ANIME PAR LE Dr MAGANI MOHAMED

المقهى الادبي الشلف

الدكتور محمد مقاني كاتب وأستاذ بجامعة الجزائر العاصمة سيلقي محاظرة حول كتابه الاخير تحت عنوان "لما تفوت النفوس الهاملة"

« Quand passent les âmes errantes »

يوم السبت 14 مايو 2016 على الساعة 14 س بعد الزوال بالسينيما "الجمال" الشلف مركز

الدعوة عامة – مرحبا بالجميع

 

رئيس المقهى الادبي    

محمد بودية

 

 CAFE LITTERAIRE DE CHLEF

 

MOHAMED  MAGANI  -

Est né en 1948 à El Attaf (Chlef) village qui se trouve à une trentaine de kms de la ville de Chlef. Il a fait ses études primaires dans une école à El Attaf. Pour ses études secondaires, il les a suivies toutes au lycée « Assalem » d’El Asnam. Après l’obtention de son baccalauréat, il a suivi une formation dans la filière « Licence ès lettres, option langue et civilisation anglo-américaine » à l’université d’Alger. Il a  obtenu son Master Of Arts (MA) à Institute of Education University of London – Option sciences sociales et sciences de l’éducation.

En 1990-1991, il fut désigné comme Vice- recteur, UFC d’Alger Durant les années 1991 à 1995 , il fut chargé de cours à l’Institut des sciences de l’information et de la Communication dont l’enseignement assuré était : « Méthodes de recherche en sciences sociales ».

De 1995 à 1999 : « Ecrivain en résidence », en exil à Berlin,  à l’initiative du Parlement International des Ecrivains et du DAAD (Berlin)

« Arnold-Zweig Stipendium » A cette époque, il était invité aux journées littéraires de Mon-Dorf (Luxembourg, 1997) il vit actuellement en Algérie. Il est resté sans travail pendant plus de deux années, de 1999 à 2001 : Durant l’année 2002, il fut chargé de cours à l’université d’Alger, dans la filière « Méthodes de recherche en sciences sociales en anglais ».

Durant l’année 2003, il fut le fondateur et président du Centre PEN algérien dont le siège international se trouve à Londres.

En 2005, il fut élu Membre du Comité Exécutif du PEN International lors du 71ème  congrès de l’Association mondiale des Ecrivains).

Depuis 2006, il est Membre du Comité International d’Orientation, FESMAN III, (Festival Mondial des Arts Nègres, Dakar, 2008)

Remarquez que c’est pour la première fois, depuis sa fondation, qu’un écrivain arabe et africain est élu au comité exécutif du PEN international en sa personne. On le considère comme l’un des plus prometteurs parmi les écrivains algériens et cela depuis sa fondation en 1921. Il est auteur de plusieurs romans, écrivant aussi bien en français qu’en anglais, il vient d’être élu au comité exécutif de l’International PEN, réuni lors de son dernier congrès à Bled (Slovénie) entre le 14 et le 21 Juin de l’année 2005. Le PEN  est une association apolitique, non gouvernementale, fondée en 1921 sur l’initiative de Catharine Amy Dawson Scott avec l’appui de John Galworthy et a pour but de « rassembler tous les écrivains de tous les pays attachés aux valeurs de Paix, de tolérance et de liberté sans lesquelles la création devient impossible ». Depuis sa création le PEN s’est attaché à la libre circulation des hommes et des idées, les écrivains emprisonnés ou en exil.                                                         Le sigle PEN est de Catharine Amy Dawson Scott et c’est un acronyme du mot anglais pen (plume) qui résume les différents métiers de l’écriture. Aujourd’hui, agréé par l’Unesco et le conseil économique et social de l’ONU, l’association travaille en étroite collaboration avec de nombreuses organisations humanitaires,  Amnesty International, Human Rights Watch, Article 19, Comité de la protection des journalistes, Fédération internationale des journalistes, Reporters sans frontières, Index Censorship.                                                                                   Le PEN compte aujourd’hui (des poètes, romanciers, essayistes, journalistes, cinéastes) dans 90 pays avec 192 centres dans tous les pays du monde. Pour rappel, le PEN Club Algérie est ouvert à tous les écrivains d’expression française, arabe et tamazigh.Il anime parfois un  Café littéraire à la Bibliothèque Nationale d’Alger sous le thème : « Comment dépasser l’écriture d’urgence Parmi ses ouvrages littéraires je vous citerais bien quelques-uns                                        dont : Romans : La Faille du ciel, Grand Prix littéraire de la Ville d’Alger, 1987 ;  Esthétique de boucher ; Un Temps berlinois ; Le Refuge des ruines ; Une Guerre se meurt ; Scène de pêche en Algérie ; La fenêtre rouge ; Rue des Perplexes, Prix Coup de cœur de l’Escale littéraire d’Alger, 2014.  Nouvelles: An Icelandic dream ; Please pardon our appearance whilst we redress the window display.  Etudes : Histoire et sociologie chez Ibn Khaldoun ; Enseignement primaire, où en sommes-nous ?

 

      


09/05/2016
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CAFE LITTERAIRE DU 30 AVRIL 2016 ANIME PAR Le Dr BENBALI MOHAMED A CHLEF


Le café littéraire de Chlef continue son petit bonhomme de chemin malgré les difficultés et pour cette semaine, la journée du Samedi 30 Avril 2016, une conférence a été donnée par le Doctorant Mohamed Benbali, professeur d’arabe à l’Université Hassiba Benbouali à Ouled Farés (CHLEF) et dont le titre est « La définition de la poésie »  « Maf’houm ech-ch’î3r ».
Pour l’ouverture de la séance, Hrache Beghdadi dit kaddour, musicien attitré du café littéraire de Chlef, en prélude, abreuva l’assistance de ses morceaux choisis, complaintes orientales qui vous emmènent vers des lieux de paix et de sérénité.
Ce fut par la suite, Hamou Ahlem qui monta à la tribune pour nous lire une prose poétique des plus envoutantes concernant l’amour de la patrie. Ce fut au tour de notre actrice et poétesse Djamila Benahmed, de nous emporter avec elle dans ses complaintes mais cette fois-ci honorées de roses et de paix pour le bonheur de ses détracteurs qui lui reprochaient toujours la mélancolie de ses vers.
Vint le tour de notre invité, le Pr Benbali Mohamed qui, sur la tribune, remercia l’assistance et les membres du café littéraire et à leur tête Mohamed Boudia, se disant très touché par cette marque de sympathie et pour cette invitation qui lui a permis de côtoyer les hommes de lettres de la ville où il a étudié. Avant d’entamer sa communication, il tint à se présenter à l’assistance comme suit : « Je me nomme Mohamed Benbali et je suis né en 1958 à Aïn Mérane (W.  Chlef). J’ai étudié à l’école primaire d’Aïn Mérane dès 1964, puis je partis au CEM « Bachir El Ibrahimi » de Bou-Kader pour continuer mes études dans l’enseignement moyen où j’ai obtenu mon BEM en 1974 après quatre années d’études. L’année 1975, je fus admis au lycée « As-Salem » de Chlef où j’obtins mon baccalauréat en 1978. J’ai rejoint par la suite, l’institut de technologie de l’Education où j’ai obtenu mon diplôme de fin d’études normales en tant que professeur d’enseignement moyen à ma sortie en 1979. Je rejoins par la suite, l’Université d’Es-Senia à Oran où j’obtins ma licence de lettres arabes. J’ai embrassé l’enseignement dans le lycée « Aberrahmane Kerzazi » à Bou-Kader en tant que professeur de langue arabe de 1984 à 1991. Je revins par la suite à mon lieu de naissance, Aïn Mérane où j’ai enseigné l’Arabe de 1991 à 2001. Après cela, je fus promu au grade de Censeur au lycée de Zeboudja, puis Sendjas, puis proviseur du technicum d’Oued Fodda où j’ai déposé ma démission de l’enseignement secondaire pour rejoindre l’Université Hassiba Benbouali de Chlef et actuellement, je suis doctorant en lettres arabes dans le thème « Dirassate El Ika3iya wel balaghiya ».
M. Benbali Mohamed, a fait une communication très pertinente concernant la poésie en général et dut répondre lors des débats à plusieurs questionnements de la part de l’assistance en les personnes de M. Medjdoub Ali, Benahmed Djamila, Mansour Mokhtari, Saâdoune Bouabdellah, Nekkaf Aïssa ainsi que Chohra Abdelkader. Il dut lire plusieurs poèmes de sa composition de même que des poèmes de la « djahiliya » qu’il dut expliquer le sens profond qu’il ne faut pas mélanger avec le vocable utilisé de nos jours. Pour l’orateur, le mot djahiliya ne veut pas dire analphabète comme on le comprend de nos jours mais c’était tout à fait un autre sens.
M. Benbali Mohamed a récité beaucoup de poèmes comme des extraits d’ « El mou3alakates », d’El Moutanabi, d’Amr Oulkaïs, Antar Ibn Cheddad, etc. Mohamed Benbali est un érudit en matière de poésie. Il a capté l’attention de l’assistance pendant plus d’une heure trente. Sa diction et son calme font de lui un orateur. Il a une pédagogie qui attire le respect et l’audience.
Vint ensuite, le tour d’autres poètes tels Mokhtari Mansour, Nekkaf Aïssa et Allali Miloud de déclamer leurs poèmes au bonheur de l’assistance qui commence à goûter de semaine en semaine, l’art de la poésie.
Pour clôturer, un autre musicien Ferrahi Abdellah, a accompagné de son « oûd » les derniers poètes qui se sont relayés sur la tribune.
Nous avions aussi une invitée de marque, Mme Driza Fatiha, présidente d’association à Mostaganem qui nous a honoré de sa présence.
Un bouquet de fleurs a été offert par une poétesse, Melle Hamou Ahlem, à notre invité, le Dr Benbali Mohamed de même que Mme Driza a été chargé par le café littéraire de remettre à notre honorable invité, un diplôme de participation pour son passage au café littéraire de Chlef.
                                                                                            
Mohamed Boudia – Ecrivain-auteur 
Président du Café Littéraire de Chlef
Vice-président de l’Association Nationale Héritage Algérie

  


02/05/2016
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CAFE LITTERAIRE DU 23 AVRIL 2016 ANIME PAR MLLE ANYA MERIMECHE A CHLEF

                CAFÉ LITTÉRAIRE DU 23 AVRIL 2016

 

 Après avoir subi des dépressions et des rebondissements dans l’octroi d’un local pour la tenue du café littéraire de Chlef et après intervention de M. le Wali de Chlef et M. le Président de l'A.P.C de la même ville, le café littéraire a obtenu l’utilisation de la salle de cinéma « el djamal » et les séances du café littéraire ne discontinuent point. Les membres du café littéraire tels Mohamed Boudia, Djilali Metmati, Dr Medjdoub Ali, Nasser Berkane, Benayad Mohamed, Kamel Sahli, Saâdoune Bouabdellah, Mokhtari Mansour ainsi que tous les autres invités du café littéraire sans oublier les jeunes poètes de l’université Hassiba Benbouali et ceux et celles des associations continuent leur travail bénévole au niveau de cette aire culturelle qu’ils voudraient un lieu de rencontre et pensée, d’échange et débats sur différents sujets culturels en y faisant associer de grandes figures de la littérature algérienne. 

 

Pour ce Samedi 23 Avril 2016, le café littéraire est l’hote de la plus jeune écrivaine d’Algérie en la personne de Mlle Anya Mérimeche, nominée par la revue culturelle « Livr’escq » sous la direction de Mme Sebkhi Nadia, de même que par l’ambassade de France, d’Italie et d’Allemagne. Mlle Mérimeche est à son quatrième bouquin dont le titre est « Transitions ». C’est un roman qui se veut une sorte de transition dans l’écriture de l’écrivaine par rapport aux trois premiers romans. Il se veut une avancée dans le temps au fur et à mesure que l’écrivaine grandit et grandissent avec elle ses aspirations et ses objectifs.

Pour l’ouverture de cette séance du café littéraire, M. Hrache Beghdadi dit Kaddour, musicien jouant du « oûd » gratifie l’assistance de ses complaintes orientales qui vous emportent vers des horizons de paix et de sérénité et vous envoûtent pour vous relaxer et vous redonner du tonus pour la poursuite de cette épopée culturelle.

 

Pour un début de séance, plusieurs jeunes poètes et poétesses se sont relayés à la tribune pour déclamer leur poésie. M. Saâdoune Bouabdellah, animateur attitré du café littéraire, nous gave, à chaque séance de ses exemples poétiques qui se veulent une leçon sociale et une éducation pour tout un chacun.

Mlle Anya Mérimeche, d’un ton très calme commença à présenter son roman « Transitions » en lisant l’introduction qui donne déjà une certaine envie de terminer l’histoire. Durant les débats, Mlle Mérimeche s’est érigé en professeur et répondait avec bienséance et courtoisie à tous les intervenants qui se sont félicités de cette séance du café littéraire et de la présence de cette jeune écrivaine, romancière à plus d’un titre, érudite dans le sens le plus profond du terme. C’est un don que lui a le Créateur en matière d’écriture de romans. Il est à noter que Mlle Mérimeche et d’une jovialité exemplaire.

 

Après les débats, plusieurs anciens poètes tels Mokhtari Mansour, Nekkaf Aïssa et bien d’autres se sont fait l’honneur d’aller à la tribune pour gratifier l’assistance de leur poésie tant dans le melhoun que dans la poésie classique, sans oublier notre attitré poète du café littéraire, M. Allali Miloud.

Une vente-dédicace a été entamée par Mlle Anya Mérimeche de ses romans. Malheureusement la demande du dernier roman a été forte par rapport au peu d’exemplaires ramenés.

Des présents ont été remis à la jeune écrivaine ainsi qu’à ses parents de même que des diplômes de participation au café littéraire. Un bouquet de fleurs a été offert par notre jeune poétesse Mlle Hadj-Henni à Mlle Mérimeche.

M. Abdelkrim Elhouari a fait une interview à la jeune écrivaine et s’est fait un devoir d’interviewer une jeune poétesse, Mlle Hadj Henni.

 

Des photos souvenirs ont été prises avec la jeune écrivaine pour inscrire dans le temps ce passage de cette dernière dans l’enceinte de cette aire culturelle qui se veut un lieu de rencontres et d’échanges combien nécessaires à la vie culturelle de notre ville et de notre pays en général.

         Mohamed Boudia – Ecrivain-auteur

Président du café littéraire de Chlef – Vice-président de l’Association Nationale Héritage Algérie.


02/05/2016
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CAFE LITTERAIRE DU 9 AVRIL 2016 ANIME PAR LE Dr AMICHE LARBI

CAFE LITTERAIRE DU 9 AVRIL 2016 ANIME PAR LE Dr AMICHE LARBI

 

Le café littéraire de Chlef continue sur sa lancée et tous les samedis que Dieu fait, les adeptes du café littéraire se réunissent pour goûter à la plénitude d'une nouvelle conférence et de nouveaux poèmes écrits et déclamés par leurs auteurs. Monsieur Hrache Beghdadi dit Kaddour, musicien attitré du Café Littéraire de Chlef, comme à son habitude, gratifia l'assistance d'une série de "stikhbarate" orientales qui émerveillèrent les adeptes et invités du café littéraire de Chlef.

Monsieur le Dr AMICHE Larbi, chef du département de langue arabe au niveau de l'Université Hassiba Benbouali à Ouled Farès (Chlef). Le thème choisi est le titre d'un des livres écrits par le conférencier et dont le titre est  "Mahmoud Derwiche - Béite Ech-Chî3r El Falastini" qui veut dire "Mahmoud Derwiche, le fief de la poésie palestinienne".
Monsieur Saâdoune Bouabdellah faisant office de maître de séance, fit monter deux poétesses à la tribune, en l’occurrence, Mlles Hamou Ahlem et Douma-Bouthiba Samia.
Elles ont déclamé leurs poèmes, l'un en prose et l'autre en rimes. Puis ce fut au président du café littéraire, Mohamed Boudia,de souhaiter la bienvenue au conférencier avec une petite présentation succincte de ce dernier. La parole fut ensuite donnée au Dr Amiche Larbi.

Monsieur le Dr Amiche commença par se présenter biographie et bibliographie oblige aux membres du café littéraire présents dans la salle. Pour un premier temps, il retraça la vie de Mahmoud Derwiche et le plaça par la suite dans le contexte des différentes phases poétiques en disant que le poète a commencé dans les années quarante par une poésie plus ou moins engagée dans une ligne partisane, puis avec l'évolution des événements en Palestine, il fut obligé de s'engager dans une nouvelle étape pour soutenir la révolution palestinienne par une poésie militante. La troisième phase de sa vie poétique fut l'entrée dans le militantisme pour la libération de la Palestine et dut vanter  cette dernière et devint militant parmi les grands de cette  révolution palestinienne. 

La conférence fut suivie avec une attention particulière et avant de passer aux débats, M. Saâdoune Bouabdellah donna l'occasion aux autres poètes présents dans la salle de déclamer leur poésie tels Mokhtari Mansour et Benahmed Djamila. A chaque phase, M. Saâdoune laissait libre cours à ses pensées et gratifie à chaque fois, l'assistance d'un de ses poèmes, critique de la vie et ce, afin de permettre au Dr Amiche de souffler un peu avant les débats qui s'annoncèrent très pertinents de la part du Dr Medjdoub Ali, de M. Nekkaf Aïssa, de M. Saâdoune Bouabdellah, du Dr Aït Djida Mokrane, de Melle Abib Zohra, députée, de M. Chohra Abdelkader, ex-inspecteur de l'enseignement ainsi qu'en définitive par Mohamed Boudia, président du café littéraire. 

Les questionnements furent très pertinents de la part de l'assistance et les réponses furent on ne peut plus précises et pertinentes de la part du Dr Amiche Larbi qui s'est félicité d'être parmi cette frange de la population de Chlef, amoureuse des belles lettres et adepte du café littéraire. 

Un diplôme de reconnaissance a été remis au Dr Amiche par M. Berkane Nasser, adepte et sponsor du café littéraire. Avant que l'assistance ne se sépare, une photo-souvenir a été prise avec l'ensemble des présents autour du Dr Amiche Larbi.
 
 




Mohamed Boudia - Écrivain-auteur - Président du café littéraire de Chlef - Vice-président de l'Association Nationale Héritage Algérie - 
 

11/04/2016
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