La culture à Chlef
OXIGENEZ-MOI ! JE ME MEURS A CHLEF !
Posté le 20.11.2007 par boudia2007
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La semaine culturelle de la wilaya de CHLEF en Algérie a été un fiasco total. Aucune prise en charge n'a été opérée pour les troupes convoquées à cet effet, ni pour les peintres et artistes qui se sont déplacés à Alger. Ils ont été dénigré au sens propre et total du terme. L'administration ne les avait même pas pris en compte. Ils n'avaient signé aucun contrat les liant avec l'administration du festival ni avec le ministère de la culture. Ils ont été laissés pour compte. D'autre part, plusieurs intellectuels (écrivains, poètes, peintres, dessinateurs, chanteurs) ont été marginalisés à l'approche de cette manifestation combien chère aux yeux d'un artiste. Ces laissés-pour-compte ne méritent pas un tel traitement de la part des autorités locales qui ne veulent s'approcher que de ceux qui les applaudissent. Pourquoi tronquer la culture ? Pourquoi faire deux poids et deux mesures dans le domaine culturel qui reste plus ou moins le secteur le plus défavorisé dans l'échelle sociale. Le ministère de la culture devrait se rallier plutôt avec les écrivains, les poètes et les peintres qui pullulent à Chlef et ne pas se concentrer sur les introduits et dépenser l'argent du contribuable pour ces spécialistes de la brosse et de la courbette. La culture à Chlef est malade. Il faut lui prescrire un traitement d'attaque si on veut qu'elle puisse relever la tête un tant soit peu à l'avenir et pouvoir donner une chance à tous les enfants de la wilaya et des wilayas environnantes. Chlef est peut-être le centre d'intérêt de la Zone de l'Ouarsenis, un bastion de la révolution algérienne qui englobe les wilayas de Chlef, Ain-Defla, Relizane et Tissemsilt. Il est demandé aux autorités locales de faire revivre cette culture ancestrale se trouvant à Chlef et ses environs. Le ministère de la culture devrait faire éditer les écrivains qui le demandent et ouvrir grandes les portes de l'édition à compte d'éditeur avec le support du ministère. Je pense que nous enregistrerons une explosion de nouvelles, récits, romans, poésies, etc.
La semaine culturelle de la wilaya de CHLEF en Algérie a été un fiasco total. Aucune prise en charge n'a été opérée pour les troupes convoquées à cet effet, ni pour les peintres et artistes qui se sont déplacés à Alger. Ils ont été dénigré au sens propre et total du terme. L'administration ne les avait même pas pris en compte. Ils n'avaient signé aucun contrat les liant avec l'administration du festival ni avec le ministère de la culture. Ils ont été laissés pour compte. D'autre part, plusieurs intellectuels (écrivains, poètes, peintres, dessinateurs, chanteurs) ont été marginalisés à l'approche de cette manifestation combien chère aux yeux d'un artiste. Ces laissés-pour-compte ne méritent pas un tel traitement de la part des autorités locales qui ne veulent s'approcher que de ceux qui les applaudissent. Pourquoi tronquer la culture ? Pourquoi faire deux poids et deux mesures dans le domaine culturel qui reste plus ou moins le secteur le plus défavorisé dans l'échelle sociale. Le ministère de la culture devrait se rallier plutôt avec les écrivains, les poètes et les peintres qui pullulent à Chlef et ne pas se concentrer sur les introduits et dépenser l'argent du contribuable pour ces spécialistes de la brosse et de la courbette. La culture à Chlef est malade. Il faut lui prescrire un traitement d'attaque si on veut qu'elle puisse relever la tête un tant soit peu à l'avenir et pouvoir donner une chance à tous les enfants de la wilaya et des wilayas environnantes. Chlef est peut-être le centre d'intérêt de la Zone de l'Ouarsenis, un bastion de la révolution algérienne qui englobe les wilayas de Chlef, Ain-Defla, Relizane et Tissemsilt. Il est demandé aux autorités locales de faire revivre cette culture ancestrale se trouvant à Chlef et ses environs. Le ministère de la culture devrait faire éditer les écrivains qui le demandent et ouvrir grandes les portes de l'édition à compte d'éditeur avec le support du ministère. Je pense que nous enregistrerons une explosion de nouvelles, récits, romans, poésies, etc.
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