CULTURE A CHLEF - EL ASNAM -

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NOS US ET COUTUMES

Dans cette catégorie, se trouveront  tous les articles qui concernent nos us et coutumes afférents à la Wilaya de Chlef et tout le territoire national en général.

PERIPLE A ANNABA EN PASSANT PAR BOUIRA

RANDONNEE A ANNABA PAR BOUIRA

Notre déplacement à Annaba au titre de l'invitation qui nous a été envoyé par notre ami, Adjili Nassrédine, président de l'association "Aissaoua" de Bona. Nous avons pris le trajet d'El Asnam à Alger par Taxi. Nous étions quatre à aller représenter la wilaya d'El Asnam en l'occurrence, Mohamed Boudia, écrivain et président du café littéraire de la bibliothèque de wilaya de Chlef, Mohamed Baroudi Kiouar, membre du conseil national de Irth El Djazaïr, Mérouane Zerrouki, président de l'association de défense du patrimoine de Ténès, Hadj Ali Ahmed, membre du bureau exécutif de cette association. Arrivés à Alger, nous devions rallier Bouira et nous nous sommes empressés de prendre un autre taxi pour arriver un peu tôt et pouvoir faire un brin de causette avec nos amis de l'association "histoire et archéologie de Bouira et à sa tête, Mustapha Allouache, assisté de Hanin Djéridène et de plusieurs membres de cette association.

Nous sommes arrivés un peu en retard et nous sommes directement passés au restaurant avant d'aller rejoindre l'hôtel sis au stade de foot ball de Bouira.

Nous y avons passé la nuit et le lendemain, nous devions prendre le bus ensemble, vers Annaba où nous attendaient notre ami Adjili Nasréddine et plusieurs personnalités de la ville. Nous avions passé une bonne nuit à Bouira et le lendemain nous primes le départ vers Bouna (Bône, Hippone, Annaba). Nous avons rallié l'auberge de jeunesse de Aïn Achir, située sur la route menant vers Séraïdi où nous attendaient nos hôtes.

 


Après nous être débarbouillés et fait notre prière, nous rejoignâmes la salle de réunion où nous attendaient, Mr Adjimi Nasréddine, sa soeur, son neveu, le Président de l'APW, le Président de l'APC, l'Imam de la mosquée Sidi Brahim, le Vice-Consul de Tunisie et plusieurs personnalités de la ville de Bouna. Mr Adjimi ouvrit la séance par une psalmodie du Coran lue par un jeune homme qui avait une voix d'or.

 


 

Ce fut ensuite au tour de l'Imam de faire une prêche sans oublier de nous orienter vers les zaouias et leurs bienfaits dans la sauvegarde du patrimoine immatériel de la nation algérienne. Vint le tour du président de APW  et du président de l"APC, qui n'ont   pas tari d'éloges pour l'association des Aissaoua et ont promis toute leur aide à cette dernière pour l'organisation de pareilles manifestations culturelles.


Plusieurs diplômes de participation ont été offerts aux présents lors de cette manifestation culturelle à plus d'un titre.

Plusieurs conférenciers se sont relayés au podium pour donner à l'assistance une consistance émouvante pour la conservation du patrimoine matériel et immatériel de toute l'Algérie. Mohamed Boudia devait, quant à lui, parler de la vie du prophète Mohamed (Alaïhi essalate wa assalame) en citant plusieurs personnalités littéraires du monde occidental louant la vie et le prêche du prophète Mohammed (Alaïhi essalate wa assalame)


Le lendemain, était prévue la visite du mausolée de Sidi Brahim, en plein centre-ville de Bouna (Annaba, Hippone, Bône). Après s'être recueillis dans le mausolée de Sidi Brahim, nous avions été conduits à la cathédrale de Saint-Augustin pour visiter les ruines d'une ville romaine. Une soirée nous a été consacrée pour clôturer cette manifestation culturelle qui se voulait intime et pleine de convivialité laissant un goût d'inachevé chez tout un chacun.

Le retour se fit toujours par une halte d'une nuit à Bouira avant d'entamer notre retour vers El Asnam (Chlef)                                                                         Med Boudia - Ecrivain et journaliste indépendant

 

 



02/01/2013 · 7 vues  0 Poster un commentaire

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02/01/2013
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UN BOUQUET D'ÂGES !

Bonsoir Si Mohamed . Je vous envoie ce texte que je viens d'écrire .J'ai été inspirée par des liens solides familiaux. J'espère que cela vous plaira.

c'était hier
J'étais invitée aux fiançailles d'une petite cousine par alliance .Celle si a été entre nos deux familles il y a environ 120 ans.
Le salon est bondé de monde ou se mélangent quatre générations .Les plus petits courent de tous les côtés sollicitant souvent leur grands-mères pour une gorgée de limonade, une miette de gâteau  et surtout pour un câlin.Les adolescentes en groupes de trois ou quatre papotent en gloussant et en rougissant .Parlent-elles de leurs examens? ou bien de leur petit amoureux ? Dés que la place est faite pour la danse ,fières de leurs corps en évolution ,elles se nouent un foulard autour des hanches et se tortillent nerveusement et parfois maladroitement au rythme de musique orientale et du Rai . Une musique qui agresse les tympans des moins jeunes . Les mères paraissent indifférentes à leur progénitures,comme si elles ne leur appartenaient pas.Elles sont vêtues de leurs plus beaux atours et discutent de tout et de rien.Les sujets abondent : Feuilletons télévisés ,voyages,cuisine, beauté et même sport.De temps en temps,elles se retournent vers la piste de danse et tapent des mains avec un automatisme amusant . Les grands-mères que les petits enfants ne laissent pas tranquilles énumèrent leurs maladies telles que le diabète , les rhumatismes , l'hypertension et encore...Les noms des médicaments se suivent comme dans le Vidal.Cependant, elles ont toujours l'espoir de faire ou refaire de pèlerinage aux lieux saints. Les arrières grandes mamies , mal à l'aise et absentes se raidissent dans leurs fauteuils.Que fixent -elles de leurs yeux vides? Pensent-elles à leur jeunesse? leur passé de prêt de 100 ans? ou à leur proche départ ? Dieu seul le sait. Une grimace dûe à la forte sonorisation donne un semblant de vie à leur visage qui a tant vu , tant ri et tant pleuré. Elles sont là et c'est la Baraka. J'admire ce magnifique bouquet d'âges et un sentiment de tendresse m'envahit. Qu'ils soient tous bénis et protégés par Allah le tout puissant. Je reconnais certaines personnes , d'autres pas.Certaines me reconnaissent et d'autres pas. Mais les retrouvailles et les embrassades sont chaleureuses et sincères , c'etait hier.
..

 

                          Mme Ziouche née Bedj Farida


20/06/2011
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El Mawlid Ennabaoui Ech-charif (Naissance du Prophète Mohammed (qppssl°


Religions, Spiritualités, Laïcité
El Mawlid Ennabaoui Ech-charif (Naissance du Prophète Mohammed (qppssl)
Posté par boudia2007 le 13/2/2011 7:50:00 (0 lectures) Articles du même auteur

La célébration de l'anniversaire de la naissance du Prophète Mohammed (Alaïhi Essalate wa Essalam) coincide cette année avec le 16 février 2011 afférent au 12ème Jour du mois lunaire "Rabie El Awal"; Le Prophète Mohammed (qppssl) naquit en l'an 571 du calendrier Grégorien.

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Sa date de naissance

Ibnou Is’haq, se basant sur les dires de Ibn Abbi Shayba qui relate cette information d’après Jabir et Ibn Abbas et d’autres musulmans, avance que la naissance du prophète Mohammed (qppssl) avait eu lieu 12 nuits du mois de Rabie El Awal de l’an de l’éléphant afférente à l’année 571 après J.C. (Calendrier grégorien): Dans ce contexte nous avons une sourate qui relate le sort des éléphantiers le jour de la naissance du prophète (qppssl)  Au Nom de Dieu le Tout Puissant et Miséricordieux,

« ALAM  TARA  KAÏFA FA’ÂLA  RABOUKA  BI AS’HAB EL FIL, ALAM YADJ’ÂL KAYDAHOUM FI TADHLIL WA ARSALA ÂLAYHIM TAYRA ABABILA TARMIHIM BI HIDJARATINE MINE SIDJILINE, FADJA’ÂLAHOUM KA ÂSFINE MAKOUL »  « SADAKA ALLAHOU EL AÂDHIM »

L'origine de son prénom

Lors d’un voyage au Sham, Abd El Moutalib (grand-père du prophète) accompagné de trois de ses hommes, rencontra un rabbin sur sa route. Lorsque ce dernier comprit qu’ils étaient de la Mecque, il leur dit : « De votre ville sortira un prophète qui s’appellera Mohammad ». Les trois hommes se jurèrent que la premier qui aura un enfant, il l’appellerait Mohammad. Ce fut Abdel  Moutalib qui eut le premier un petit-fils (Mouhammed Alaihi Essalate wa salam)

Quelques signes relatifs à sa naissance et annonçant sa mission future : A la Mecque

Lorsque Lalla Amina porta en son sein Le Prophète (qppssl), elle reçut la visite d’un ange qui lui dit : « Tu viens d’engendrer le meilleur de cette communauté. Quand tu le mettras au monde, tu diras : Je prie DieuUnique de le protéger contre tous les envieux. La preuve de ce que j’avance sera confirmée lors de sa naissance qui sera accompagnée par une lumière qui éclairera les palais de Bosra au Sham, appelle-le alors Mohammed, le loué, car dans la Thora, il est appelé Ahmed. Il sera loué par tous ceux se trouvant dans les cieux et sur la terre.  L’

« INNA ALLAHOU WAL MALAÏKA YOUSSALLOUNA  AÄLA  ENNABI – YA AYOUHA  ALLADHINA AMANOU SALLOU AÄLAYHI WA SALLIMOU TASLIMA »

« Sadaka Allahou El Âdhim »

Plus tard, lorsque le Prophète fut interrogé sur sa personne, il dira qu’il était l’accomplissement du vœu de son père Ibrahim et l’annonce faite par Issa Ibnou Maryam (Jésus). Quand elle me portait en son sein et à ma naissance, tous les palais du Sham furent illuminés.

Lalla Amina ne ressentait aucune douleur lors de sa grossesse. Lorsque le Prophète naquit, il sortit en s’appuyant sur ses mains, la tête levée au ciel. Tout le monde constata qu’il était circoncis et que le cordon ombilical était déjà coupé.

L’envoyé de Dieu était orphelin de père. Ce dernier mourut chez ses oncles à Médine, après une longue maladie, quelques semaines seulement avant la naissance de Mohammed (qppssl).

En dehors de la Mecque

En perse, l’actuel Iran, le feu sacré que les rois mages adoraient s’était éteint et des églises s’écroulèrent. Ces faits furent rapportés par At-Tabari et Al Bayhaki.

Hassan Ibn Thabet, qui sera plus tard le poète du Prophète, rapporta : « Quand j’étais dans la région où se trouvaient les juifs (Médine), j’ai vu un rabbin monté sur un mur et qui s’écriait : «  Ô communauté des juifs ! En ce jour est apparue l’étoile de Ahmed ».

Les juifs avaient la manie de scruter le ciel presque sans arrêt car ils savaient qu’à la venue du prophète Ahmed, il y aurait une étoile qui n’apparaitrait qu’à sa naissance.

Le jour de sa naissance coïncida avec l’invasion par Abraha Al Ashram du Yémen et ses éléphantiers qui voulaient envahir la Mecque et démolir la Kaâba. Dieu leur envoya les oiseaux de Babel qui les inondèrent de pierres d’argile brûlantes qui les écrasèrent tous.

El Mawlid Ennabaoui Ech-charif correspond cette année au 16 Février 2011 afférent au 12 Rabie El Awal de l’année hégirienne 1432.

COUTUME/ :

Célébration du mawlid ennabaoui ech-charif chaque année.

Bougies (On allume une bougie pour chaque membre de la famille. Le gros couscous (Aïch avec du poulet) – Lanternes (Bennarates) – Mosquées illuminées (Mawkeb (procession) par les enfants portant des moquées et demandant l’aumône en chantant comme suit) : « Abchir Ettahar ou Ahmed Essalate aâla Mohamed Hakadha Temchi wa dour Essalate âala errassoul – Saâdak saâdak ya Halima Elli Rabiti n’bina ma tet’hassab ma tat’âkab ma chouf hatta ghbina – Attiour elli tarou Fi sma darou » - Bou chikh – HennéCirconcision – Toummina – Psalmodie du Coran – Tahlil – pour les enfants –

 

Autre information : Halima (radhia allahou taâla alaîha) est sa mère nourricière. AICH LALLA HALIMA (Aïch = berkoukès ou gros couscous au poulet qu’on donnait aux enfants) dans le sillage de cette coutume.

         Mohamed Boudia - Ecrivain et journaliste indépendant -

 


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13/02/2011
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La pauvre Aïcha

Contribution de Mme Ziouche Farida
Ma grand mère me l'a racontée il y a des décennies.
Il était une fois, une jeune fille, Aîcha que le père maria à ce qu'il croyait être un brave garçon. Elle quitta donc les siens pour la nouvelle famille. Des le début, elle fut considérée comme la bonne à tout faire. Elle n'avait pas le droit de se plaindre. Tous étaient égoïstes et méchants. Le grand père  , impotent, ne disait mot. Les rares moments de répit qu'elle avait, elle se rendait au jardin. Là ! elle s'asseyait sous un arbre beau et robuste et elle pleurait et parlait...parlait presque sans discontinuer. Ils disaient qu'elle était folle. Le temps passait sans aucune amélioration dans la vie de la pauvre femme. La santé lui fit défaut et elle mourut. Chose extraordinaire, aussitôt l'arbre s'écroula. Le veuf, quoique surpris, décida d'en faire du bois de chauffage. Au premier coup de hache le tronc se fendit, pourri et envahi des milliers de bestioles. Il se mit à courir et s'adressa à son père qui, seul, aurait pu lui donner une explication à ce phénomène. Le vieux lui répondit : Tu n'as rien compris mon fils ! ceci est le cœur de ta femme que  tu as si mal traitée. elle n'avait que cet arbre à qui se confier. Que Dieu et elle te pardonnent. Le fils, honteux, alla près de la carcasse de l'arbre et se mit à pleurer à son tour.
Cette histoire à une morale, l'être humain a toujours besoin qu'on lui prête un oreille attentive.
 Contribution de Mme Ziouche née Bedj Farida -

28/01/2011
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A LA POURSUITE DE LA CULTURE DANS L'ALGERIE PROFONDE

A la poursuite de la Culture dans l'Algérie Profonde

Deuxième partie -

Dans le but de réunir les membres de cette famille algérienne et les adeptes de la coutume de « Orf Sidi Maâmar » sur tout le territoire national et dans celui de préserver nos valeurs et nos coutumes ancestrales héritées de nos ascendants tout au long des siècles écoulés, l'association « Histoire et Vestiges » de la wilaya de Bouira dont le Président Monsieur Allouache Mustapha, Proviseur de Lycée en Retraite et Monsieur Djéridane Hanine Vice-président, Docteur en médecine, ainsi que les membres du bureau de cette association avec le concours de la Direction de la Culture, de la Maison de la Culture, de la wilaya de Bouira, se sont évertués à faire de ces Journées Nationales du Patrimoine Culturel un pôle de rencontres de plusieurs wilayas, toutes concernées par le patrimoine culturel national tant matériel qu'immatériel à participer à ces journées et à partager toutes informations afin d'enrichir ces journées combien nécessaires à l'éclaircissement de certaines pages de notre identité nationale que le devoir nous impose à colporter et à transcrire pour les générations futures.

Sous le thème du mois du patrimoine institué par le Ministère de la Culture « 2010 – Patrimoine Culturel et Identité »

Le programme de ces trois journées a été riche et varié et a donné l'occasion à tous les participants de pouvoir cerner certaines données dans le domaine des traditions de l'Algérie profonde.

Le thème choisi pour ces journées nationales a été : « Orf Sidi Maâmar » et sa pérennité dans la vie des adeptes de cette coutume instaurée par le Saint Patron Sidi Maâmar.

L'occasion fut donnée à des chercheurs et conférenciers des différentes wilayas de rapprocher leurs vues et leurs recherches dans ce domaine.

La richesse du programme de ces journées fut définie avec une précision et netteté exemplaire dans la recherche des buts et finalités de ces journées qui furent une réussite totale, pleine et entière :

Les différents thèmes soulevés durant ces journées nationales  du Patrimoine Culturel :

1/- Le rôle des us et coutumes dans la détermination de notre identité nationale.

2/- « Orf Sidi Maâmar » et ses perspectives historiques, géographiques, sociologiques et culturelles.

3/- Les différents mausolées : « Adhriha oua Makamète » comme vestiges historiques patrimoniaux civilisationnels.

Buts que s'est fixée l'association durant ces journées :

1/- Enrichissement et sauvegarde de nos us et coutumes populaires à porter à la connaissance de tout un chacun

2/- Communications de la part de conférenciers et de chercheurs de différentes wilayas dans le domaine du patrimoine culturel

3/- La formation scientifique et culturelle des participants

4/- Apport et enrichissement des travaux des chercheurs et des associations activant dans le domaine du patrimoine culturel.

5/- Enrichissement et sauvegarde de notre identité nationale

6/- Sensibilisation  de la société autour des dérives et occultisme concernant nos coutumes ancestrales populaires

 

Programme des différentes journées du colloque :

1/- Journée du 23 Avril 2010

-        10 h. - Réception et inscription des participants et remise des documents de participation

-        Installation des différents stands d'exposition de travaux artisanaux

-        15 h.30  - Ouverture officielle de « Deuxièmes Journées Nationales »

-        « El Fatiha » et l'Hymne National

-        Chant « Sidi Maâmar » par l'association « Amis de Cherchell » et l'association « Nassim Essabah » de Cherchell

 

-        « Bouira à travers son histoire et ses vestiges » présenté par des jeunes de l'Association « Histoire et Vestiges » de la Wilaya de Bouira

-        Discours de Monsieur Allouache Mustapha, Président de l'association « Histoire et Vestiges » de Bouira.

-        Discours du représentant de Mme La Ministre de la Culture

-        Discours de Monsieur le  Chef de Cabinet de la wilaya représentant de Monsieur le Wali de Bouira

16 h. 30 – Intermède et ouverture officielle du salon d'exposition à la maison de la culture de Bouira

17 h. 30 – Intermède de musique andalouse par l'Association « Atha'âlibia li madinate Lakhdharia » et l'Association « Nassim Essabah » de Cherchell

18h. 30 – Mise en scène d'une cérémonie de mariage sous « Orf Sidi Maâmar » par l'Association « Les amis de Cherchell ».

 

20 h. – Diner au Lycée Mohamed Essedik Benyahia de Bouira

21 h. – Table ronde pour l'émulsion des différents membres de la grande famille relevant du Wali Allah Essaleh Sidi Maâmar avec les participants dans un café littéraire.

Lecture et déclamation de poésies dans l'amphithéâtre du Lycée Mohamed Essedik Benyahia de Bouira

 

2/-  Journée du 24 Avril 2010

8 h. 30 – Début des travaux : Conférences

-        Conférence par Mohamed Fouka, enseignant à l'université Hassiba Benbouali de Chlef

-        Conférence par Mohamed Dahmani, enseignant à l'Université Hassiba Benbouali de Chlef

-        Conférence par Mohamed Ziane, originaire de Chlef et enseignant à l'Université de Sidi Belabbès

11h. – Ateliers de Travail :

- 1er Atelier : Rôle des us et coutumes dans la détermination de l'identité nationale.

- 2ème Atelier : « Orf Sidi Maâmar » et ses perspectives historiques.

- 3ème Atelier : Différents tombeaux et sépultures en tant que vestiges historiques et civilisationnels

- Conférence de Mohamed Boudia, cadre de l'éducation en retraite et écrivain (Résumé sur l'origine de « Orf Sidi Maâmar » et la situation des différents mausolées du Wali Allah Essaleh Sidi Maâmar à travers les différentes wilayas)

12h. 30 – Déjeuner au Lycée « Mohamed Essedik Benyahia » de Bouira

13h. 30 – Visite du Mausolée de Sidi Maâmar dans la commune de « Aïn El Hdjar » - Prière sur la sépulture du Wali Allah Essaleh Sidi Maâmar (Dou'âe)

16h. – Réunion au niveau de la Maison de la Culture de Bouira

17 h. – Visite de la ville de Bouira – Inscriptions des participants pour la visite du mausolée de Sidi Maâmar El Frikett dans la commune du même nom dans la wilaya de Tizi-Ouzou.

3ème Journée du 25 Avril 2010 :

8 h. – Visite du mausolée ainsi que le village de Sidi Maâmar El Frikett, sis dans la wilaya de Tizi-Ouzou.

13h. 30 – Repas en plein air dans le mausolée de Sidi Maâmar El Frikett (Oua'âda donnée en l'honneur des participants)

14h. 30 – Fin des festivités et retour des participants dans leurs wilayas respectives.

      Mohamed Boudia - Ecrivain - Chlef

 

  A suivre.................

 

 

 


03/05/2010
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