CULTURE A CHLEF - EL ASNAM -

Bonjour à tous ! Avant toute chose, BONNE ANNEE ET BONNE SANTE A VOUS TOUS QUI VISITAIENT CE BLOG - MES MEILLEURS VOEUX DE BONHEUR ET DE PROEPERITE -

J'espère que cette année 2011 vous apportera tout ce que vous désirez et vous réussira pleinement dans tout ce que vous entreprendrez. La culture dans notre ville se meut dans une certaine léthargie qu'on ne peut qualifier et nous faisons appel à toutes les bonnes âmes de bien vouloir se rapprocher du "Café Littéraire" dirigé par Mohamed Boudia, écrivain - auteur, au niveau du Musée "Abdelmadjid Meziane" Cité Arroudj CHLEF, pour essayer de donner un nouveau souffle à la culture et aux manifestations culturelles dans notre ville et wilaya d'El Asnam. Je sais et nous savons tous que notre ville et wilaya regorgent de talents qui sont marginalisés au sein du monde de la culture et la seule esplanade ou agora culturelle composée d'habitants d'El Asnam est là, présente à les accueillir afin de mettre à jour leur talent de poète, d'écrivain, d'orateur, de musicien, de peintre, dessinateur, etc... Rejoignez votre "Café Littéraire" car il a été créé pour vous afin que vous puissiez vous y exprimer de différentes manières et vous enrichir les uns les autres d'une culture locale et nationale combien nécessaire à l'expression de notre personnalité propre.

MERCI A TOUS POUR VOTRE ADHESION ET POUR VOTRE PARTICIPATION !!!!!!!!

Monsieur Chioune Abdennour est un ancien homme de théâtre et a fait ses planches au Centre Larbi Tébessi d'El Asnam (Chlef) dans les années soixante-dix. Il est né le 22 Juin 1954 à Alger et a suivi ses études dans la ville d'El Asnam (Chlef). Il a débuté ses études en théâtre en 1964 puis s'est spécialisé dans le théâtre de marionnettes. Il est écrivain de contes pour enfants et actuellement fonctionnaire. Il est spécialiste des marionnettes et a reçu ses enseignements de feu Maâmar Boudria (rahimahou Allah). Il est actuellement responsable du SNAPAP au niveau de la wilaya de Chlef. Il est membre du café littéraire dirigé par Mohamed Boudia. Il présentera son nouveau-né ce mardi 26 Octobre 2010 au Club littéraire (café littéraire) au Centre Larbi Tébessi de Chlef.

L'oeuvre en elle-même est une initiation aux techniques de la marionnette que l'auteur a voulu mettre à la disposition de tout un chacun et permettre la promotion de cette technique au niveau des écoles et des établissements de jeunes dans la wilaya de Chlef et même dans d'autres régions du pays.

Ce livre se veut un manuel didactique pour l'apprentissage de la confection de la marionnette jusqu'à sa prestation dans le théâtre de marionnettes.

Ce livre est un outil de travail intéressant pour l'apprentissage de la confection de la marionnette et à l'initiation au théâtre de cette dernière.

                                                    Mohamed Boudia - Ecrivain à Chlef -

                                EPHEMERIDE 5

Nous avons déjà passé le premier trentenaire du séisme meurtrier du 10 Octobre 1980 - Que nous réserve demain ? Aurons-nous le privilège de pouvoir vivre une vie décente ou serons-nous encore la proie aux vissicitudes de la vie ici-bas. Ne disons-nous pas dans nos prières : "Oh ! Mon Dieu ! Faites qu'aujourd'hui soit meilleur qu'hier et que demain soit mieux qu'aujourd'hui "? Alors ! prions Dieu de nous éviter les marasmes de cette vie et de nous donner l'espoir qui nous a quitté de pouvoir nous reposer et panser nos blessures et ainsi faire de notre quotidien, une aire de piété et soumission à la loi divine. Nous aurons ainsi la possibilité de prétendre, peut-être, inchaa Allah, à des lendemains meilleurs dans l'au-delà. La terre a bougé ce 10 octobre 1980. Nous avions perdu des proches, des amis ainsi que notre quiétude, qui, semble-t-il, n'est pas en phase de s'asseoir pleinement pour étaler un tant soit peu de bonheur dans notre vie devenue terne et morose. Je ne suis point pessimiste mais, nous faisons face à des contraintes matérielles qui nous amènent à nous demander s'il y a vraiment quelqu'un qui doit penser à ce peuple qui fléchit sous le nombre et le poids des factures d'eau, d'électricité, de téléphone, de la cherté de la vie au quotidien et cette impossibilité à vivre sans inquiétude aucune. Là où nous allons, dans n'importe quelle administration, nous nous heurtons à une bureaucratie des plus virulentes et à un déni qui ne dit point son nom. Nous sommes confrontés tous les jours que Dieu fait, à tous les marasmes de commis de l'état sans vergogne, qui sont là, dirait-on, pour nous empoisonner la vie du lever du soleil jusqu'à son coucher, que dis-je, de l'aube de la vie jusqu'à la limite de cette dernière. Vous ne trouverez point de pays dans le monde aussi consommateur que nous  de paperasse futile alors que nos responsables sont là hébétés, à regarder seulement leur macro-économie et leurs salons d'honneur, de réception et j'en passe. Prennent-ils le couffin ? Vont-ils faire leurs emplettes comme c'est le cas dans certains pays ? Songent-ils seulement à ce qu'endure le citoyen quotidiennement ? Prennent-ils la température de nos marchés des fruits et légumes ? Ont-ils seulement conscience de cette inflation qui vous bouffe jusqu'aux yeux ? Je ne le pense pas ! Nous sommes livrés à nous-mêmes et nous nous débattons dans mille et un problèmes auxquels nous ne trouvons aucune solution qui puisse nous épargner un tant soit peu de contrainte sociale qui nous conduit à un dépérissement physique et moral sans précédent. Prions et prions pour que nos lendemains soient meilleurs et que Dieu puisse nous prendre à témoin contre ceux qui nous enchaînent et qui nous privent de notre droit à la vie et au bien-être ici-bas.

                                 EPHEMERIDE  4

Bonjour tout le monde !

Le calfé littéraire a repris ses fonctions le 28 Septembre 2010 au siège du  Centre Larbi Tébessi avec une première concernant le nouveau-né de Abdelkader Guérine, poète d'expression française, qui nous a gratifié de plusieurs bouquets de poèmes de son nouveau recueil "Les braises fraîches" édité à Dar-El-Adib à Oran. L'assistance était composée d'hommes de lettres, d'écrivains et de poètes dans les deux langues. L'après-midi culturelle a été une réussite du fait que les débats furent très fructueux et la critique très constructive. Deux poètes d'expression arabe ont relayé par la suite Mr Guérine, en l'occurance Mr Boualili et Mr Boutoubat, pour nous gratifier de leurs poèmes (malhoun) qui nous ont donné du baume au coeur et nous ont transporté à l'intérieur de la société algérienne profonde et dans les méandres de la vie actuelle des gens de la ville et de la campagne pour nous imprégner d'une certaine éducation qui fait défaut actuellement à nos concitoyens. En définitive, j'ajouterais que le Café Littéraire continuera à se tenir tous les Mardis, au siège du Centre Larbi Tébessi (ex-Albert Camus) à Chlef. Merci à vous tous de nous honorer de votre présence au Café Littéraire.