CULTURE A CHLEF - EL ASNAM -

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cette catégorie englobera tous les articles édités par moi-même sur mes différents blogs  boudia2007.over-blog.com - boudia2007.vox.com - boudia2007.unblog.fr -


ONE MAN SHOW DE SAMIR BOUANANI d'après le texte de MOURAD SENOUCI

CAFE LITTERAIRE CHLEF

 

 

 

ONE MAN SHOW DE SAMIR BOUANANI

d'après le texte de MOURAD SENOUCI

 

          L'INVITATION EST GENERALE

 

SOYEZ TOUTES ET TOUS LES BIENVENUS (ES)

 


17/05/2016
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SEMINAIRE REGIONAL DU RESEAU D'ASSOCIATIONS DE DEFENSE DU PATRIMOINE

SEMINAIRE REGIONAL A TIARET - Asso.défense patrimoine

         SÉMINAIRE REGIONAL DU RESEAU

        DES ASSOCIATIONS DE DEFENSE DU

         PATRIMOINE CULTUREL A TIARET

 

Pendant plus de deux jours consécutifs, le réseau des associations de défense du patrimoine englobant les wilayas de Tiaret, Chlef, Aïn Defla, El Bayadh, Saida, Bechar, etc…. ont été conviées à un colloque de deux jours de travaux pour étudier les résultats du réseau et présenter le nouveau projet relatif à l’aide de l’Union Européenne pour la promotion et la valorisation des associations de défense du patrimoine.

Après une allocution de bienvenue de la part de Mr DAOUD Mohamed, président de l’Association de la Protection du Patrimoine Archéologique de la wilaya de Tiaret (APPAT), président du réseau Resarch, et une présentation des actions entamées et faites pendant la période 2012/2013.

  Photo3826

On fit appel à un spécialiste des projets en la personne de Mr Djebara Ahmed, pour éclaircir l’assemblée sur les tenants et les aboutissants du projet qui a été instruit auprès de l’ambassade de l’Union Européenne à Alger.

 

La parole fut ensuite donnée à Mr Mohamed Boudia, écrivain, vice-président de l’Association Nationale Irth El Djazaïr et président du Café Littéraire de Chlef pour exhorter l’assistance à être beaucoup plus présente sur le terrain pour arriver à contrecarrer les actions nuisibles au patrimoine culturel de notre pays. Il devait en outre dire que la volonté ne suffit pas. Il faut une disponibilité à toute épreuve afin de défendre et de valoriser notre patrimoine culturel tant matériel qu’immatériel.

Il est indéniable que c’est seulement avec la volonté et la participation de tous qu’on pourra donner un élan salvateur de notre action envers le patrimoine culturel pour sa pérennisation dans le temps et sa légation à nos générations futures.

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Prenant la parole, Mr Kadi Mohamed, écrivain et président de l’Association pour la Défense de l’Environnement à El Attaf (Aïn Defla) d’apporter un plus à la réunion avec la projection d’une vidéo sur l’environnement et la préservation de notre planète. Il devait ajouter que ce n’est qu’avec la mobilisation de tous qu’on pourra passer le flambeau (allumé) aux générations futures.

 

Un débat s’en suivit et la participation de tous a été fructueuse quant au devenir de nos associations et leur rôle dans la société civile dans tous les domaines pour une prise de conscience de la population vis-à-vis de la défense et de la conservation de notre patrimoine culturel.

 

 

Le créneau de la formation de la formation n’est pas en reste puisque le réseau a eu à former plus d’une cinquantaine de jeunes dans le gardiennage et la guidance sur les sites archéologiques de la région.

  Photo3837

Le projet présenté par Mr Djebara Ahmed se traduit comme suit :

Titre du projet : « Intégration par le réseau "Resarch "du patrimoine archéologique de la zone de Tiaret en milieu de jeunesse pour une lecture apaisée de l’histoire millénaire des territoires »

L’action vise le renforcement et le développement de l’action et l’audience auprès des jeunes du réseau Resarch qui regroupe actuellement une quinzaine d’associations locales du patrimoine, domiciliées principalement dans les wilayas du piémont de l’Atlas Saharien, des hauts plateaux centre et Ouest du pays et marginalement, Chlef, Adrar et Aïn Defla.

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 Il est prévu la formation de plus de 100 jeunes dans des séminaires archéologiques afin de les imprégner de leur histoire plusieurs fois millénaire et les sensibiliser à la protection de l’environnement et du patrimoine culturel de leur région.

 Les jeunes de ces régions ont besoin de puiser dans les fins fonds de leur histoire afin de pouvoir mieux cerner leur avenir et leur existence de par la connaissance effective de leur archéologie et les peuplades qui les ont devancés sur cette terre qui est celle de leurs ancêtres.

 Par le biais de ces formations, on invite les jeunes à s’introduire dans leur passé pour déterminer leur présent et pouvoir ainsi se lancer dans leur futur avec sérénité.

  Photo3836

Il faut inculquer à ces jeunes les dispositifs et les moyens à mettre en œuvre pour la préservation de leur patrimoine culturel et les initier à la valorisation de ce dernier. Beaucoup de sites archéologiques, disséminés sur tout le territoire national ne sont pas encore inventoriés, ni inscrits comme patrimoine national ou universel sont à protéger et à inscrire dans le cursus de protection et de valorisation du patrimoine culturel algérien et universel en général.

 Le manque de moyens n’a pas permis à ces associations de pouvoir jouer leur rôle prépondérant dans la recherche, la formation, la protection et la valorisation du patrimoine culturel, tant matériel qu’immatériel.

 La volonté de coopération entre les associations du réseau Resarch existe mais les moyens qui leur permettraient d’unifier leur action et pouvoir s’imposer face une administration, parfois réticente, en matière de collaboration.

 Objectif général (finalité de l’action)     

- La promotion du patrimoine dans la zone d’intervention

-  Promotion de la mobilité des jeunes

- Développement de l’inter-culturalité et partant de la cohésion sociale

-  Rétablissement du continuum historique auprès des jeunes

                                                                Mohamed BOUDIA

 


02/04/2013
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Est-ce qu'Internet peut rester neutre

 

 

Est-ce qu'Inernet peut rester neutre ????

 

Les concepteurs d'Internet ont voulu rapprocher les peuples et les économies sur toute la planète. Je pense, pour ma part, que cela a été et sera encore un essor gigantesque de la haute technologie (informatique). Cela a permis à certains une cognition ouverte sur le monde et l'espace et par la même, Internet a tissé des liens solides bien que virtuels par l'apport des réseaux sociaux et des communautés interactives. Je crois qu'il serait difficile voire impossible d'arrêter la machine Internet. Elle a libéré beaucoup de talents d'écriture, de chansons, de photographies bien qu'il y ait eu dans ce domaine une exagération qui porte atteinte à l'éducation de nos enfants. L'internet est devenu un outil indispensable dont on ne peut se passer actuellement, vu la somme de connaissances qui s'y trouvent et qui va en augementant tous les jours. La liberté d'expression a pris un élan formidable et nous le voyons vraiment avec tous ces nouveaux écrivains et poètes sur Net qui sont parvenus à éditer et à s'auto-éditer et amener leur grain de connaissance à la culture universelle. Il serait louable de trouver seulement un dispositif pour éviter certains dépassements de la part de certains dévoyés qui font de la porno leur cheval de bataille et de gain facile. Donner la possibilité à tout un chacun de pouvoir se servir d'un ordinateur afin d'extérioriser ce qu'il ressent afin de partager ses idées constructives avec les autres internautes. C'est inoui ! Il y a seulement quelques années, qui aurait pu dire que l'Internet serait la clé d'un monde empreint de liberté et d'évasion ? Qui aurait pu dire qu'Internet serait la clé de voûte de la société actuelle (virtuelle). Le monde, de par l'Internet, est devenu un e-village, alors laissons se forger des relations saines et constructives entres tous les internautes de tous les pays. Grâce aux réseaux sociaux qu'on ne cesse de critiquer, des millions d'internautes se retrouvent et retrouvent même leur enfance et leur jeunesse par les amis, les collègues, les camarades de classe. Alors, messieurs les décideurs, soyez indulgents avec vos peuples et laissez-les mieux se connaître et n'essayez point de les diviser pour mieux régner. Pour terminer, je dirais que l'Internet est devenu le souffle de vie et d'évasion de plus de deux milliards d'êtres humains. Alors laissons l'histoire et la technologie s'occuper de ce que sera notre avenir informatique ou je dirais plutôt virtuel.

 

    - Mohamed Boudia - Ecrivain et journaliste citoyen -


13/11/2010
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LA PERTE D'UN AMI

                          LA  PERTE D’UN AMI

Nous formions un groupe compact et nous nous rencontrions tous les jours que Dieu fait chez notre ami commun Ahmed Djadel.  Nous faisions une équipe formidable. Nous plaisantions de tout et de rien et on riait à gorge déployée.  Il y a avait avec nous dans le groupe, Sayah Adda Mohamed qu’on surnommait Elhadj, ainsi Djadel Kader (auto-école) frère d’Ahmed. Ce dernier avait cessé toute activité dans son magasin de pièces détachées sis dans la rue de frères Médjadji, dans le prolongement du café Bourouina, face à l’habitation de Med Attaf qui se joignait à nous, parfois. Il le maintenait vide (magasin) seulement pour nous y rencontrer. Mohamed Habbar plaisantait avec Attaf et le taquinait chaque fois qu’il le rencontrait. Med Attaf acceptait ses taquineries et plaisantait avec lui avec bonhomie. C e cercle d’amis commence à se restreindre par la perte , il y a presque un an, d’Ahmed Djadel , puis de son frère Kader (auto-école), il y a à peine quinze jours et aujourd’hui je viens de perdre un troisième ami en la personne de Mohamed Habbar. Mes sentiments sont cachés au plus profond de moi-même et je ne peux les extérioriser du fait de mon chagrin immense. Non point que je n’accepte pas le destin de tout être humain sur terre, mais plutôt par esseulement. Je me retrouve presque sans appui amical et il reste seulement Sayah Adda qui me rappelle à chaque fois que nous commençons à perdre tous nos amis et que viendra le jour où nous resterons seuls et viendra aussi notre tour de quitter ce bas-monde qui n’est et ne sera qu’un mirage pour tout homme sensé. Il est indéniable que la vie ici-bas n’est qu’une étape dans la vie de l’individu et qu’il faut l’utiliser à bon escient afin de gagner les faveurs du Tout Puissant et Miséricordieux. Je suis peiné pour ses enfants et ses proches parents mais en mon for intérieur, je me dis qu’il est parti très propre. En effet, il venait tout juste de revenir des Lieux Saints de la Mecque et  il y a à peine une semaine, il venait de marier son dernier fils Youcef. Je crois qu’il a bien rempli sa vie et qu’il pourra dormir tranquille. Que Dieu veuille bien l’accueillir en Son Vaste Paradis. De sa vie, on peut dire qu’il l’avait vouée au Créateur. Il ne se passait pas un jour où il n’ouvrait pas lui-même la mosquée de la Zone 2 à Chorfa, chez l’imam Si Bénali. Il était là, toujours avant les autres. Il faisait le muezzin et ne ratait jamais sa prière du Fadjr. Il était l’ami de tous. Tous ceux qui l’approchaient, l’adoraient. Il était direct, d’une franchise sans égale. Il avait subi une attaque il y a plus d’un an et fut soigné dans un hôpital à Oran. Il resta quelques temps en convalescence à Mostaganem puis il réintégré Chlef. Il avait repris des couleurs et pouvait facilement marcher tout seul. Il descendait presque tous les jours au centre ville de Chlef pour rencontrer ses amis. Il avait une vie exemplaire et il est parti avec sa netteté et sa propreté physique, intellectuelle et morale dans les jardins du Vaste Paradis que Dieu veuille bien l’y faire entrer. Adieu, mon ami ! Que Dieu t’accueille en Son Vaste Paradis ! Nous espérons prendre exemple sur toi et vouer ce qui nous reste de notre vie ici-bas à l’adoration du Tout Puissant.

                 Mohamed Boudia - Ecrivain - Chlef


28/10/2010
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PARTIE DE PECHE EN BARQUE A EL MARSA

 

Nous sommes le Vendredi 1er Octobre 2010, quand mon neveu est venu me prendre à mon domicile.  C'était prévu que nous allions à El Marsa, essayer une partie de pêche sur barque appartenant à mon frère. Nous avons pris le départ de Chlef vers 15 heures 30. Notre groupe se composait de K.H., de K.B. , de W.H. et de moi-même. Nous avions entassé notre matériel de pêche dans la malle de la voiture  (palangre, corde, moulinets, amorces, lignes de fond, manger, etc...

Après plus de deux heures de route, nous nous sommes arrêtés à Abou El Hassan où nous avons fait la prière du "A'Asr" et nous avons, en même temps, acheté quatre pains ronds et des boissons gazeuzes. Nous reprîmes la  route en direction de Taghezoult et après avoir dépassé le poste fixe de gendarmerie, nous nous élançames sur la route pour nous retrouver à moins de vingt-cinq minutes de trajet à El Marsa. K.H. a pris soin d'appeler son co-propriétaire de la barque pour lui demander de nous attendre afin que nous puissions  caler la palangre en face d'un endroit appelé "les pierres rugueuses" (El Hdjar lahrache). Nous avions trouvé le jeune homme qui nous attendait au port d'El Marsa. Nous avons pris soin d'aller remplir le réservoir d'essence de la barque pour pallier à toute éventualité. Nous chargeâmes par la suite, tout notre matériel sur la barque et nous partîmes sur le champ pour caler notre palangre et pouvoir aussi pêcher un peu à la ligne de fond. Le calage de la ligne de fond nous prit plus d'une heure trente. La palangre calée, nous avions sorti nos lignes de fond et nous nous sommes attelés à la tâche de pêcher. Il fallait couper les sardines en trois ou quatre morceaux, suivant la grosseur de ces dernières pour amorcer nos lignes qui contenaient une grappe d'hameçons et un plomb de plus de 500 gr qui devait l'entraîner vers les fonds marins. Dès que le plomb touchait le fond, il fallait tendre la filin ou crin pour sentir la morsure du poisson et puis il fallait remonter sa ligne pour décrocher la prise et la mettre dans un panier en plastique. La pêche n'était pas tellement bonne.


 

Ce n'était pas notre jour. Nous avions pris seulement 3 congres. Le soleil s'était déjà couché à l'horizon et nous étions encore assez loin de la terre ferme. La nuit devenait de plus en plus noire et nous étions obligés de rentrer. Afin d'éviter de nous faire défoncer par un quelconque chalutier, mon frère K. a eu la présence d'esprit de se coiffer d'une lampe de mineur avec feux blancs fixes et feux clignotants rouges. C'était une mesure de sécurité qui n'était pas à dédaigner. Cela vous rajoute un peu plus d'assurance lorsque vous êtes à plus de deux ou trois kilomètres de la terre ferme et que la nuit ajoute à votre anxiété un brin de nostalgie pour la terre ferme. Nous avons mis plusieurs minutes pour arriver au port. A l'entrée de ce dernier, notre moteur s'est bloqué par un sachet provision jeté là par des marins ou des estivants. La pollution bat son plein en Méditerranée. Nous avons des sachets en plastique qui se promènent un peu partout et notre jeune ami qui conduisait la barque a mis un temps fou pour dégager son hélice et reprendre la route vers le quai. Arrivés à ce dernier, nous avons descendu tout le matériel que nous avons mis dans la voiture et nous nous sommes dirigés vers la maison d'un ami de mon frère où nous avions passé la nuit. Nous remercions au passage le père de notre jeune ami qui s'est conduit en hôte remarquable pour nous avoir ramené de chez lui des matelas et couvertures. Nous avons passé une nuit dénuée de cauchemars car nous sommes tombés comme des souches de part la fatigue du voyage et puis celle de la partie de pêche en mer.


 

 

Le lendemain, nous avions pris des cafés au lait et des croissants puis nous sommes descendus vers le port pour renouveler notre escapade en mer. Je ne les ai pas accompagné car j'ai laissé ma place à mon neveu W.H. qui avait envie d'aller voir de plus près une pêche en haute mer. Je pris mon moulinet et l'amorce et je me suis dirigé vers la pointe du brise-lames pour essayer de passer le temps en pêchant. Aucune touche. Rien. Au bout d'une heure, je vois une barque qui s'avançait vers le port et ses occupants qui me faisaient signe. Pour la première fois, je ne les ai pas reconnus, puis, au bout d'un moment, mon regard s'est aiguisé et j'ai pu distinguer mon frère et mes neveux qui me faisaient signer d'aller vers l'embarcadère. Ce que je fis avec plaisir car je n'avais aucune touche. Nous devions aller au-delà de "Hadjret Nadji" (Rocher Colombi) pour pêcher à la ligne de fond. Ah ! J'oubliais ! La palangre a été relevée et trois pièces seulement furent retirées des hameçons (un congre et deux sarres). Le moteur de la barque étant faible, un 9,8, et le rocher Colombi se trouvant plusieurs centaines de mètres du port, voire plusieurs kilomètres, nous décidâmes de prendre la voiture et aller par route, en face de Hadjret Nadji et que notre jeune ami puisse nous rejoindre rapidement par mer pour que nous puissions aller au-delà de Hadjet Nadji pour pêcher à la ligne de fond. Après plusieurs minutes durant les quelles le moteur de la barque souffrait en ronronnant de par la charge qu'il drainait, nous étions quatre personnes dans une barque de 3 m.50 seulement et la puissance du moteur était très faible. Arrivés au poste de pêche qu'on appelle "El Fass" (c'est-à-dire, une ancre jetée au fond de la mer et repérée par deux ou trois bouées rouges et blanches qui permettaient le répérage facile du poste de pêche. Nous amarâmmes notre barque et nous commençames notre besogne. Pendant plusieurs minutes, nous n'avions aucune touche. Les minutes s'écoulaient et on commençait à devenir impatients. Mais tout d'un coup, nous sentions qu'il y avait un changement et avant que la ligne n'atteigne le fond, elle avait déjà un ou deux poissons accrochés à ses hameçons. Nous étions vraiment au comble de notre joie. Il fallait le voir pour y croire, presque toutes les deux ou trois minutes, on remontait nos lignes avec au moins un ou deux poissons (mafrons). Le panier fut à demi plein. Notre jeune ami nous fit savoir que le vent d'Est commençait à se lever et qu'il fallait rentrer car notre moteur ne pouvait combattre le vent d'Est et que la barque était trop chargée donc, il y avait tros de risques à rester pêcher. Nous enroulâmes nos lignes et détachâmes notre barque du poste et notre jeune ami démarra le moteur. Il nous fallut peut-être une trentaine de minutes pour arriver à bon port, c'està-dire à une petite plage en face du Rocher Colombi (Hadjret Nadji), qu'on appelle aussi, la plage du phare d'El Marsa. Nous primes nos poissons et sommes montés dans notre voiture pour rejoindre El Marsa par la route, quant à notre jeune ami, il devait rejoindre le port d'El Marsa par la voie des eaux. Nous avions déjeuné dans un restaurant à El Marsa, et comme j'avais rendez-vous, nous avons repris le retour vers El Asnam (Chlef) immédiatement après.

 

                               Mohamed Boudia - Ecrivain à El Asnam


02/10/2010
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