Maamar Farah
NOM : FARAH
PRENOM : MAAMAR
DATE DE NAISSANCE : 24 Octobre 1950
LIEU DE NAISSANCE : M’daourouch, Algérie
ITINERAIRE : Entre au quotidien de l’Est algérien (AN NASR) en 1970 – Journaliste stagiaire durant 2 années. Rejoint la rédaction d’El Moudjahid en 1972 – Journaliste professionnel, commentateur, reporter, grand reporter et éditorialiste. En 1984, rédacteur en chef adjoint. En 1985, prépare et lance, en tant que directeur de la rédaction, le quotidien du soir, « HORIZONS ». Tirage en 1987 : 350.000 exemplaires. A la faveur des réformes de 1990, lance, avec quatre confrères, le premier quotidien indépendant (LE SOIR D’ALGERIE) et devient le premier directeur de la rédaction de ce journal. Quitte les rédactions en 2003, mais anime toujours une chronique hebdomadaire et un billet quotidien dans « Le Soir d’Algérie »
PUBLICATIONS :
- Les mots du jeudi, recueil de chroniques
tome 1 (juin 2004)
- Bassamet, recueil de chroniques en arabe
(juin 2004)
- Les mots du jeudi, recueil de chroniques
tome 2 (juillet 2005)
- Les sirènes de Cap Rosa, roman
(Octobre 2005)
- Soleils d’hiver, nouvelles
(Novembre 2005)
- Express de nuit, carnets de voyage
(Juillet 2007)
- Le rêve sarde, roman
(Juillet 2007)
300 Pause café, recueil de billets
(Août 2008)
E-mail : farahmaamat@ymail.com
Principaux Ouvrages
LES SIRENES DE CAP ROSA
A l’origine scénario d’un téléfilm refusé par la télévision algérienne (1985) pour des raisons aussi absurdes que futiles, « Les sirènes de Cap Rosa » est un voyage dans l’Algérie « révolutionnaire » des années soixante-dix avec, pour cadre, la région verte et pittoresque d’El Kala, pays des lacs et région la plus humide d’Algérie. C’est l’histoire d’un amour impossible bercé par la brise méditerranéenne. C’est l’histoire d’une amitié entre deux jeunes aux idées divergentes. C’est l’histoire d’un rêve utopiste brisé… Au bout, la désillusion et la terrible descente aux enfers et une seule certitude : plus rien ne sera comme avant…
LE REVE SARDE
Depuis quelque temps, les jeunes algériens sont de plus en plus nombreux à partir dans des barques de fortune vers la Sardaigne, à la recherche du paradis promis. En arrivant sur cette plage du bout du monde, après avoir quitté la Capitale et une vie jusque-là stable, bien que perturbée par un emprisonnement injuste, Karim, presque la soixantaine, ne se doute pas qu’il va connaître la « harga » (tentative d’émigration clandestine) avec six jeunes aux destins divers.
Sur cette plage, il connaîtra l’amour et un début de troubles psychologiques qui lui font subir un va-et-vient incessant entre le rêve et la réalité. Un personnage central peuple les deux monde : sa jeune amoureuse et son double.
Après bien des péripéties et un drame qui le marquera profondément, il repart en Sardaigne. Avec un visa en bonne et due forme.
« Chaque matin, il regardera vers le sud, en espérant que, là-bas, les choses changeront un jour. Tôt ou tard, la bêtise reculera. Il sait que c’est possible. Mais en attendant, il s’est juré de s’occuper des jeunes qui arriveront par la voie des mers.
Des jeunes de plus en plus nombreux à courir derrière le « rêve sarde ».
EXPRESS DE NUIT
Dans des trains qui filent dans la nuit noire, l’auteur fait des rencontres fortuites. Destins divers déclinés dans la douce ambiance d’un bar-restaurant ou l’espace étroit d’un fumoir. Vies brisées et recollées. Confidences qui traînent jusqu’au petit matin. Vérités dites par des femmes et des hommes que l’on ne verra plus et qui s’en iront, une fois arrivés au Terminus, semblables aux autres anonymes noyés dans la foule régurgitée par les grosses rames.
Dix-huit étapes dans des pays proches et lointains : Algérie, Yougoslavie, Pologne, RDA, Roumanie, URSS, Chine, Corée…
SOLEILS D’HIVER
Dix-huit nouvelles avec, pour toile de fond, ce soleil hivernal propre à l’Algérie, aveuglant par sa lumière mais si réconfortant par sa douce chaleur. Ces Nouvelles traitent de la désillusion et du grand désespoir qui s’est installé dans nos cités modernes. C’est aussi un voyage au bout de la solitude, cette solitude si effrayante lorsqu’elle est s’entoure de la foule bigarrée, présente par le nombre, mais tragiquement absente…
300 PAUSE-CAFE
Recueil de billets parus en page 1 du quotidien « Le Soir d’Algérie ».
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