Poème Pour Ghaza
Ghaza, que tu es belle
N'était-ce ton embargo par les sionistes
Tu es devenue orpheline et contre toi , ils se sont ligués
Hélas ! Palestine ! Un morceau de ta chair enlevé
Ils t'ont soumis au désastre, Balfour et son traité
Tu es naïve et prisonnière, de tous les pays, tu es la risée
Entre Sabra et Chatila, Tes enfants sont abandonnés
Poursuivis par Ehud le damné qui en fit une bouchée
Oh : Hélas ! Palestine ! De Ghaza, ils t'ont dépouillée
Où sont mes hommes ? Où sont les arabes ? Tu as crié
Ils sont avilis et n'ont plus de personnalité
Leurs oreilles n'entendent plus et leurs bouches se sont tues
Hélas : Palestine ! Tu étais une beauté sans égale partie
Hélas ! Palestine ! Quand tu étais une verte prairie
Du temps de Salah Eddine, tu étais dans la dent de l'ennemi, une carie
Les gens te louaient et comme un couteau, tu transperçais l'ennemi
Ils se sont rués sur toi et t'ont rendue inconnue et sans logis
Que tu es belle, Ghaza n'était-ce l'embargo des abrutis
Ils se sont ligués contre toi avec la grande Amérique et Cie
Pour te détruire et ne laisser derrière eux que cendres et buis
Ils t'ont emprisonnée et d'El Qods, l'objet de ma prière, ils t'ont éloignée
Tes frères arabes à qui il ne reste plus de pouvoir, Tu as appelé
Avilis et ensevelis sous la botte des américains et Cie
Oh ! Palestine ! Nous nous languissons de Salah Eddine
Oh ! Mon Dieu ! Que l'on soutienne Ghaza ! Faites l'unité !
Pour contrer l'ennemi d'Ouest en Est et dans toute contrée
Hélas ! Pauvre Palestine ! Contre toi, ils se sont ligués
En 1947, ta douleur et tes marasmes ont commencé
Avec le satanique Balfour et son traité
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