CULTURE A CHLEF - EL ASNAM -

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ENNAYER ou l'an amazigh

ENNAYER ou l'an amazigh

               Café littéraire du mardi 10 JANVIER 2012

 

Ce mardi 10 Janvier 2011, à 14 heures s’est tenu le café littéraire, comme à l’accoutumée, au niveau de la bibliothèque de wilaya « Mohamed MAHDI » et a vu une affluence timide en début de séance.

Monsieur Boudia Mohamed, écrivain, président du Café Littéraire, après avoir souhaité la bienvenue aux habitués du café littéraire et après leur avoir présenté ses meilleurs vœux pour l’année 2012, a annoncé le titre de sa conférence afférent à la nouvelle année amazigh « Ennayer ».

 

 

 

 Après avoir terminé sa conférence, Monsieur Boudia a invité les adeptes du café littéraires à entamer un débat sur le sujet de la conférence. Les débats furent très fructueux et ne pouvant laisser l’assemblée dans cette ornière, le conférencier a fait monter quelques jeunes poètes sur le podium pour clamer leurs poésies et ainsi changer la monotonie de la conférence et délier les langues de ces jeunes poètes qui ne demandent qu’à s’exprimer. L’occasion leur a été toujours été donnée au sein de ce café littéraire qui se veut une agora culturelle publique afin de dénicher quelque talent et former une relève pour ce café littéraire si on veut le pérenniser dans le temps.

 

Notre jeune poète Djaâfar Khaled, est passé lui aussi à la tribune pour clamer ses poèmes classiques, toujours engagés dans la cause arabe et palestinienne.

Plusieurs jeunes talents se sont succédés à la tribune pour nous gaver de leurs poèmes combien profonds et combien d’actualité. Je citerais seulement quelques noms de ceux qui ont bien voulu nous sortir de notre quotidien par la lecture magistrale de leur poésie, à savoir, Fodhil, Djaâfar Khaled, Ali Mellahi, Saâdoun Bouabdellah, Thaâlibi Imane, la jeune Aboura, sans oublier la jeune Kaben Latifa qui, à chaque fois, remplit l’assistance de joie par ses poèmes lyriques et comiques retraçant des scènes de la vie courante. Il y eut aussi, parmi les anciens tels Monsieur Medjdoub Ali, poète d’expression française qui nous fit part de deux de ses excellents poèmes.

Nous n’oublierons pas notre ami et collègue Monsieur Lahmar Mohamed, qui nous vient à chaque fois d’Aïn Defla pour embellir le café littéraire de ses beaux poèmes empreints d’amour et de sagesse. Nous ne passerons pas sans citer Monsieur Boudali, poète du melhoun et El Allali qui devient un adepte du café et ne rate jamais une séance.

Nous remercions aussi Monsieur Sadek de la radio d’Ain Defla qui vint nous rendre visite et déclama un poème dont l’histoire a été vécue par lui-même et concernant une phase de sa vie actuelle.

                            Mohamed BOUDIA – Ecrivain et journaliste indépendant - 



12/01/2012
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